• Ma vie a pris une tournure différente de ce que j’avais imaginé, en un instant. Ce bébé qui été posé contre moi ne pouvait pas être le mien, j’ai hurlé pour qu’ils l’enlèvent de là, je ne voulais pas le voir, je le détestais, sachant comment il avait été conçu. L’infirmière est partie avec ce monstre, Nate essayé de me calmer encore, ils ont fini par m’endormir. Je me suis réveillé dans une petite chambre d’hôpital impersonnelle et froide, Nate à mes côtés. J’étais calme, j’avais les idées plus claires, je ne voulais pas garder cet enfant, hors de question de vivre avec le fruit d’un viol. Non, je ne voulais pas. Nate s’était blotti contre moi et je ne sais pas pourquoi la première chose que j’ai dite a été cette question.

    - C’est une fille ou un garçon ?

    - Une petite fille, elle te ressemble, elle est magnifique.

    L’entendre parler de cet enfant comme ça m’a fait me sentir coupable, je ne ressentais rien alors que j’avais l’impression que lui l’aimait. J’avais commencé à pleurer.

    - Je ne sais pas quoi te dire Méli, je suis encore sous le choc, donc je n’ose pas imaginer ce que tu ressens.

    Rien justement, je ne ressens rien. Un grand vide m’habite. Comment j’ai pu porter la vie sans m’en rendre compte alors que j’avais tout fait pour éviter ça ? 

    - J’ai dû appeler ta mère, ils rentrent demain.

    Je ne dis rien, je pleure, j’ai gâché le voyage de ma mère, j’ai gâché ma vie, je me tourne pour pleurer, mais Nate reste toujours contre moi.

    Chapitre 12 - Août

    Ma mère est arrivée en pleurant, elle m’a prise dans ses bras, je pleurais aussi.

    - Mon bébé, Nathanaël m’a raconté, je m’en veux de n’avoir rien vu, je ne sais pas ce que tu veux faire, mais je te soutiendrais.

    - Je suis désolée d’avoir gâché votre voyage maman. Je ne sais pas quoi faire, tu l’as vu ?

    - Ne dis pas de sottises Mélissandre. Oui, elle te ressemble, elle est magnifique.

    - Je ne l’ai pas vu… je ne veux pas d’elle dans ma vie.

    - Je sais mon bébé, mais c’est aussi ta fille, fais ce qu’il te semble le mieux pour toi, pour elle.

    Et c’est sur cette phrase que j’ai décidé de la garder, cette petite fille qui s’était caché pendant tout ce temps. J’ai décidé de lui donner une chance, de donner une nouvelle chance à la vie. C’est vrai que lorsque je l’ai vu, je l’ai trouvé magnifique, si fragile. Nate l’a reconnu comme sa propre fille et nous lui avons choisi le doux prénom Erin. 

    Nous restons finalement un peu plus longtemps que prévus avec ma famille, le temps de nous remettre de cette épreuve. Ma mère est au petit soin avec moi et Nate est complètement gaga avec Erin, c’est vrai que le rôle de papa lui va a merveilles. Je ne me sens toujours pas mère, on dit que l’instinct maternel vient tout seul, mais je l’attends toujours, je ne sais jamais ce qu’elle veut, j’ai toujours du mal à la prendre avec moi alors que pour tout le monde ici ça a l’air d’être un jeu d’enfant. Ma mère et Matt nous proposent de prendre la petite pour nous laisser un peu de temps ensemble. J’ai vraiment besoin de me retrouver, de retrouver Nate, nos nuits sont mouvementées, mais malheureusement pas comme je me l’étais imaginé. La porte d’entrée à peine fermé, Nate me porte pour m’entraîner jusque dans notre chambre. Il m’embrasse doucement, mais je me mets à pleurer.

    Chapitre 12 - Août

    - Pourquoi tu pleures ? 

    - Je n’ai pas envie de ça Nate, je n’ai envie de rien…

    - Mais je sais Méli, on peut juste faire une petite sieste en amoureux, non ? 

    Je hoche la tête pour répondre. Nous nous allongeons sur le lit et il ne me faut pas longtemps pour m’endormir. Lorsque je me réveille, Nate n’est plus à côté de moi, je sors de la chambre et j’entends du bruit au rez-de-chaussée, je me dirige donc vers celui-ci. 

    Nate tente d’endormir Erin dans son transat, elle se met à hurler si fort que ça m’en donne mal à la tête. Je ne supporte pas de l’entendre, je sors de la maison avant que Nate ne me voie, je marche sur le trottoir, droit devant moi, je finis par arriver au bord de l’eau, il fait presque nuit, et pour un soir d’Août, il fait plutôt frais. Je m’assois par terre et j’écoute le bruit de la rivière qui se fraie un chemin entre les cailloux, j’aimerais m’allonger dans l’eau et suivre le courant… me retrouver loin d’ici, loin de ce cauchemar qu’est devenue ma vie. Il fait vraiment nuit, je me lève et décide de rentrer avant que tout le monde ne s’inquiète. J’arrive à peine devant la maison que Nathanaël me saute dessus, des larmes plein les yeux. 

    - Seigneur où étais-tu Méli ? Ça fait des heures qu’on te cherche partout…

    - Désolé, j’avais juste besoin d’être seule, de prendre l’air…

    - Mais tu aurais pu prévenir, tu sais le souci qu’on vient de se faire ? 

    - Je suis désolée Nate.

    - Tes parents ne sont même pas encore revenus… je vais les appeler pour leur dire que tu es rentrée saine et sauve.

    Chapitre 12 - Août

    Je ne pensais pas qu’ils s’inquiéteraient tous autant de mon absence, et puis je n’étais pas loin. Je déteste le regard furieux que me lance Nate quand il est au téléphone. Je lève les yeux au ciel et monte dans ma chambre. Quelques secondes après que j’ai fermé la porte, elle se rouvre. Nate me dévisage toujours furieux.

    - Ça va Nate, j’ai dit que j’étais désolée, je suis grande, je fais ce que je veux.

    - Non Mélissandre, tu nous as vraiment fait peur. Je t’aime tellement s’il t’était arrivé quelque chose, je ne m’en serais jamais remis.

    Il a vraiment plus l’air peiné que d’être en colère. Je commence à culpabiliser. C’est vrai que je suis partie longtemps.

    - Je suis vraiment désolée Nate, je ne recommencerais plus.

    Il me prend dans ses bras et embrasse mon front. J’ai ensuite le droit de me faire passer un savon par ma mère et surtout par mon beau-père qui en rajoute une couche vu l’état de ma mère. Je m’excuse mille fois, mais mon esprit est toujours sur le bord de la rivière, les pieds dans l’eau prête à m’allonger dans le courant. 

    Nous rentrons chez nous, dans notre petit appartement, ça me fait du bien de revenir dans mon petit nid, nous passons à peine la porte d’entrée qu’Erin se réveille, je pousse un profond soupir. 

    Chapitre 12 - Août

    - Va te reposer si tu en as besoin, je vais m’occuper d’Erin.

    - Tu en es sûr ?

    Il se contente de hocher la tête pour un « oui », je prends les valises pour les ranger dans notre chambre. Une fois tout rangée, je m’assois sur le bord du lit, je ne suis pas fatiguée, je n’ai juste pas envie de m’occuper d’elle. Ce n’est pas normal, mais je n’y arrive pas, je voulais lui laisser une chance, mais c’est plus dur que ce que j’avais imaginé. Il va pourtant falloir que je m’y mette, Nate va bosser pour l’entreprise de son père dans une semaine, je serais seule avec Erin toute la journée. Rien que d’y penser une boule se forme au creux de mon ventre, au fond de ma gorge. Nate entre la chambre avec Erin dans les bras, elle s’est endormie.

    - Tu sais si bien t’en occuper Nate.

    - Tu n’essaies même pas Méli Je prends sur moi parce que je sais que ça ne doit pas être facile pour toi, mais tu seras seule bientôt, si tu ne te sens pas de la garder dis-le.

    - Je… 

    Il a raison, je n’essaie pas, je baisse vraiment les bras avec cet enfant.

    - Tu as raison.

    Chapitre 12 - Août

    Je me lève pour la prendre de ses bras, elle dort toujours. Puis elle commence à s’agiter. Voilà, c’est comme ça que je commence à paniquer.

    - Berce-là comme ça.

    Nate me montre et Erin se rendort instantanément. Un sourire s’échappe de ma bouche.

    - Tu vois, toi aussi, tu sais t’en occuper, tu dois seulement t’en donner les moyens. C’est ta fille Méli. 

    Je ne réponds rien, mais c’est aussi la fille d’une de ces deux ordures. Un frisson d’horreur traverse mon corps. Erin le sent et se met à hurler. Malgré les mouvements que je fais pour l’apaiser, elle ne veut pas s’arrêter, Nate la reprend et elle s’arrête doucement de pleurer pour se rendormir.

    - Ça viendra Méli, petit à petit, tu arriveras à trouver tes marques. 

    Il va la déposer dans son transat dans le salon, il revient et sonde mon regard. C’est la première fois, depuis qu’Erin est née, qu’il me regarde comme ça, que je me sens comme avant, quand il n’y avait que lui et moi, deux amoureux passionnés. 

    - Qu’est-ce qu’il y a Nate ? 

    Il ne dit rien et sourit juste, il s’approche de moi pour embrasser mon cou. C’est doux, mais mon esprit divague au bord de l’eau… je me demande si un jour j’irais dans l’eau pour suivre le courant…

    - Je t’aime.

    Chapitre 12 - Août

    Nate murmure à mon oreille, je suis toujours dans ses bras, je ne lui réponds pas, même si je l’aime aussi. Il me lâche pour aller dans la douche, et je tombe sur le lit.

    Ça fait deux semaines déjà que ce nouveau rythme de vie est en place, moi, je reste avec Erin la journée, j’ai toujours du mal à la prendre avec moi, je me contente du strict minimum et Nate rentre le soir, fatigué, presque plus content de retrouver Erin que moi. 

    Le vendredi est le jour que j’attends le plus pour que Nate prenne le relais avec elle. J’ai peu dormi de la nuit et aujourd’hui Erin est insupportable, elle hurle, refuse de manger et de se calmer, je suis à bout de nerfs.

    - MAIS QUE VEUX-TU ERIN ??

    Je hurle si fort que ça lui fait peur et elle hurle de plus belle. Je ne peux plus l’entendre, je suis tellement… je veux juste rejoindre le court d’eau dévalant entre les cailloux… je ne réfléchis pas une seconde lorsque j’attrape un couteau dans la cuisine et que je me réfugie dans la salle de bain. Je glisse au sol et entaille ma peau plusieurs fois jusqu’à cette dernière entaille, celle qui me fera rejoindre le court d’eau… Le bruit de la porte d’entrée parvient à mes oreilles, malgré les hurlements d’Erin. Je pense regretter un moment ce que je viens de faire, mais je me dis qu’ils seront mieux sans moi. Le sang coule le long de mon poignet quand Nathanaël entre dans la salle de bain.

    Chapitre 12 - Août

    - Non, non, non Mélissandre, qu’est-ce que tu as fait ? 

    - Je suis désolée, c’est mieux comme ça…

    - Hors de question, tu ne vas pas me laisser, tu as compris ?

    Nate continue de parler, mais je ne l’écoute plus, je me concentre sur le bruit de la rivière qui se fraie un chemin entre les rochers pour rejoindre l’étendue d’eau qui m’appelle depuis des semaines… 

    FIN.


     

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  •  11 mois plus tard, Juillet.

    Ma chère petite Erin vient de souffler sa première bougie, elle est rayonnante et si joyeuse, elle ressemble beaucoup à Mélissandre. S’occuper d’elle est un réel plaisir et pour moi il n’y aura jamais de différence, elle est ma fille et je ne laisserais personne me dire le contraire. 

    - Paaapaaaa !!

    Je ne me lasserais jamais de l’entendre m’appeler « papa », ça me réchauffe tellement le cœur et me fait oublier les mauvais moments… les derniers mois n’ont pas été facile pour tout le monde. J’ai préféré déménagé pour rapprocher Erin de ses grands-parents maternels et de son jeune tonton Melvin après cet accident. 

    Mélissandre… notre histoire avait débuté de façon assez particulière, mais être à ses côtés faisait de moi l’homme le plus chanceux, alors me remémorer la scène qui m’attendait à mon retour ce soir-là me glace toujours le sang, retrouver la femme de ma vie, le poignet en sang, couteau à la main… la voir se vider de sa vie, me laissant ce sentiment d’être impuissant. Je suis encore en colère contre ça, contre elle… malgré tout l’amour que je lui porte… et je me sens également coupable de ne pas avoir su comprendre qu’elle allait si mal…

    Épilogue

    - Maman !!!!! 

    Quand je me retourne, elle sort de la maison pour nous rejoindre dans le jardin, j’ai besoin de la prendre dans mes bras pour réaliser que je ne rêve pas, mais Erin court déjà en direction de sa mère, me devançant largement.

    - Bonjour princesse !! 

    La voir si souriante, si proche de sa fille me rend si heureux. Je me lève pour les rejoindre, Méli me sourit, mais mes yeux sont toujours attirés par ces cicatrices sur son bras… me rappelant que j’ai failli la perdre ce jour-là. J’avais réussi à l’empêcher autant que possible de se vider de son sang pendant que les secours étaient en chemin, je suis resté des jours entiers à son chevet en attendant qu’elle se réveille et lorsqu’elle fût enfin de retour parmi nous, complètement déboussolée, elle n’a pas pu s’empêcher de me répéter inlassablement « désolée ». 

    A ce moment-là j’étais plus que sûre que je ne voudrais jamais la quitter et que je ferais tout pour la rendre heureuse. Et les mois suivant, elle a repris sa vie en main, elle s’est enfin décidée à voir quelqu’un pour parler et ça lui a fait le plus grand bien. Au fil des mois, sa relation avec Erin s’est améliorée, aujourd’hui elles sont inséparables pour mon plus grand plaisir.

    - Nate ? 

    Épilogue

    Elle m’appelle de son air grave, sachant très bien que je suis encore parti dans cet affreux souvenir… la culpabilité se lit sur son visage, je m’en veux de la rendre triste alors qu’elle respire la joie de vivre aujourd’hui. Je lui souris et la prends dans mes bras. 

    - Comment été ton rendez-vous ?

    - Ça, c’est bien passé. 

    - Tant mieux ! Ça va aujourd’hui ?

    - Oui, très bien ! Je vais mettre Erin à la sieste ! 

    Elle embrasse doucement ma joue en souriant, je me sens obligée de lui rendre son sourire. Elle appelle notre fille qui revient vers nous contre son grès en râlant pour ne pas aller à la sieste ! Je les suis discrètement, Erin s’est mise à pleurer et Mélissandre reste calme et douce, elle la couche puis lui lit une histoire, Erin finit par s’endormir. Méli sort doucement de la chambre.

    - Nate ! Tu m’as fait peur !

    - Désolé chérie ! 

    Dans un élan de pure folie, je l’attrape et la soulève, elle rigole doucement, j’adore l’entendre rire, elle enroule ses jambes autour de moi tout en me tenant par le cou. Elle frotte son nez contre le mien, je suis complètement fou de cette femme, je la plaque contre le mur et l’embrasse dans la nuque, je la sens trembler, je souris, j’adore la rendre vulnérable. Ma langue trouve la sienne, nous sommes tous les deux haletants. 

    Épilogue

    - Épouse-moi !

    - Quoi ?

    Les mots sont sortis de ma bouche tous seuls, ce n’est pas la demande qu’elle mérite, mais je veux qu’elle soit mienne jusqu’à la fin. Je veux qu’elle soit en sécurité avec moi, je veux qu’elle porte mes enfants, je la veux elle.

    - Épouse-moi Méli ! 

    Elle me regarde de ces grands yeux de biche étonnés… elle est tellement craquante que je ne lui laisse pas le temps de parler, je l’embrasse encore passionnément et la porte dans notre chambre. Je la pose doucement sur le lit.

    - Dis-moi oui !

    Elle me jauge de son regard triste, je ne comprends pas pourquoi elle dirait non. Elle approche sa main de mon visage pour le caresser amoureusement puis un timide sourire apparaît sur ses lèvres…

    - Oui, Nate ! 

    Épilogue

    Je n’ai pas besoin d’en entendre plus, je souris à pleine dent avant de me jeter sur elle comme un lion affamé pour la goûter dans les moindres recoins.

    Elle se lève du lit pour se changer et mettre fin à notre « petite sieste », je la regarde passer devant moi, j’aime cette femme, pas seulement pour son corps, mais aussi pour son esprit, pour sa joie de vivre, sa façon de me compléter et sa façon de m’aimer, je la garderais toujours avec moi si je le pouvais. Je viens de me rendre compte que je lui ai demandé de m’épouser alors que nous étions dans un moment passionnel.

    - Tu veux vraiment m’épouser Méli ?

    Elle réapparait en sous-vêtement. Grand dieu, j’avale ma salive difficilement, un sourire s’étend sur ses lèvres, elle sait très bien l’effet qu’elle me fait… et elle en joue ! Elle s’approche de moi pour me rejoindre sur le lit.

    - Est-ce que tu regrettes de me l’avoir demandé ?

    - Non ! Sûrement pas !

    - Alors je suis toujours sûre de vouloir t’épouser ! Je ne veux que toi dans ma vie et je veux porter tes enfants !

    - Toute mon équipe de basket ? 

    Épilogue

    Je plaisante, mais je sais que le sujet d’avoir des enfants est plus que délicat… même si elle sait que j’en veux beaucoup. Je serais patient avec elle parce que c’est la femme de ma vie. Elle arbore un sourire malicieux avant d’approcher son visage du mien pour déposer un baiser sur ma joue et me glisse doucement à l’oreille…

    - Oui… et tu sais, si tu veux une équipe de basket, il faudra bientôt s'y mettre… !

    FIN.

    Épilogue


    Je vous  invite à lire les remerciements


     

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    Remerciements

     

    Je remercie encore les créateurs de CC, surtout des poses ! 

    Et aussi et surtout remercier tous mes lecteurs !!! 

     

    Les scènes de l'université ont été créés dans la Docker University de Lillafi ! 

    La chambre universitaire de Mélissandre se trouve dans le Newcrest university dorms de MHazz69 ! 

    La fraternité de Nate est la sublime Theta Beta Bro Fraternity de Lapatronne ! 

    La maison de Lainie et Matt (la famille de Méli) est The Oasis moderne par JessBuilds ! 

    J'ai utilisé le modèle de parking de cOmAtOrAn dans le chapitre 6 !

    L'appartement de Nate et Méli a été entièrement décoré par moi-même et est disponible de San Myshuno !

    La scène au mariage (Chapitre 9) se passe dans les WC du lot Épouse-moi par Dyokabb ! 

    Le camping (Chapitre 11) est le magnifique lot Romantic Camping Park de Aijah2211 !  

    L'hôtipal est le Private Hospital de Deligracy ! 

    Et enfin, la maison de Nate et Méli est la Backyard Life de TheSimSupply !! 


     

    Pas de nouvelles histoires de prévues, en tout cas si vous voulez être au courant il suffira de passer sur le forum S4fr

    En attendant vous pouvez toujours lire (ou relire)  « Ma vie rêvée »,  « War of hearts » et mon Not So Berry Challenge avec ma famille Berries

    MERCI !

    Remerciements

     


     

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